Un bal ? Hum, j'avoue que l'idée me plaisait. Et costumé en plus, parfait. Dans mon palais déplacé depuis quelques années déjà, je me préparais. Un simple smoking noir et un masque blanc du style du carnaval de Venise couvrant seulement les yeux. Le résultat était très élégant. Les dieux pourront me reconnaître, à cause de cette petite brise qui souffle souvent dans mes cheveux, même à l’intérieur. Peut-être que les demi-dieux et autres être mythologiques assez malins, me reconnaîtront aussi... Je me fixais une dernière fois dans le miroir, puis me rendais à New-York City.

Je marchais dans les rues, et plus je m'approchais de l'endroit où la fête devait se dérouler, plus la foule était euphorique. Un vent doux et tiède soufflait, signe que j'étais ici, et que je me sentais bien. J'avais surtout hâte de rencontrer un peuple, de me fondre parmi eux. Il y avait des déguisements assez originaux, et d'autres qui tombaient dans la banalité la plus totale. Arrivé à l'entrée, on me laissa passer et j'entrais avec un sourire respectueux.

Une fois à l'intérieur, je fus assailli par la musique un peu trop forte à mon gout, mais je pensais pouvoir m'y habituer. Après tout, la soirée ne faisait que commencer. Alors, pour passer le temps, je me mis à chercher les personnes que je connaissais. Je m'aventurais au milieu de ces gens qui avaient tous l'air heureux d'être ici. Je finis par tomber sur le buffet et je m'arrêtai soudainement en voyant Zeus, mon maître, assis à une table, seul. J'étais presque... étonné de le voir ici. Cachant mon étrange comportement, je m'approchais de lui. Je m'inclinais pour le saluer, une main sur l'abdomen, puis lui sourit. Cela ne servait à rien de lui parler, la musique couvrait tout et je n'avais pas envie de passer pour un sauvage devant lui en me mettant à crier.

Jane m'avait longuement parler de ce bal qu'elle attendait impatiemment. Je décida de m'y rendre afin de garder un œil sur elle et puis cela me donner l'occasion de sortir. C'est ainsi que je me retrouva planter devant mon miroir avec plusieurs domestiques qui s'agitaient autour de moi. J'avais l'impression de me préparer pour l'une des nombreuses réception que donner mon mari de temps en temps. Sauf que là on était en été et je passer quelques mois loin de lui. J'étais heureuse de pouvoir revoir ma mère, mais Hadès me manquer terriblement et je me ronger les sang a savoir avec qui il allait encore me tromper. On se disputer souvent a cause de sa et je prier pour qu'un jour il voit le mal que cela me fait d'être si humiliée. Alors cette petite soirée allez me permettre de me changer les idées et même de pouvoir m'amuser un peu sûrement.

Je choisis donc une robe longue blanche,avec quelques ruban noirs. Je me coiffa, puis me maquilla et je sortie en direction du bal. J'y alla de façon anonyme, enfin comme me connaissait Jane, car je ne savait pas qui il y aurait exactement a ce bal.
Arrivée sur place je constata avec étonnement le monde qu'il y avait déjà. Beaucoup de de jeunes avaient déjà investit le lieu et danser sur la piste. Pourtant cette fête était assez différente des réceptions dont j'avais l'habitude. C'était la première fois que je participer a ce genre de bal sur terre et cela n'était pas si mal que sa. J'entrais donc dans la bâtiment et avança tout en regardant autour de moi. Les gens avaient l'air de beaucoup s'amuser. Ils étaient tous déguisés et méconnaissable pour la plupart. Je jeta un coup d'oeil en tentant de voir Jane mais je ne la trouva pas. Par contre je trouva une autre personne dont je ne m'attendais pas a la visite.

Mon père était quelqu'un de plutôt fière et il pouvait paraître assez froid. Il dirigeait les Dieux et sa , son orgueil ne l'oublier pas. Mais malgré ses défauts j'aimais mon père ,même si il était autant coureur de jupons que mon mari , ils n'étaient pas frères pour rien ces deux là ! Je m'avança donc vers le buffet où il se tenait en train de déguster une des pâtisseries qui s'y trouvait. Je me posa a ses côtés appuyée contre le buffet en regardant la piste de danse.

« La gourmandise est un vilain défaut mon père »

Je lui souris amusée. Certes , il n'était pas un père comme les autres et je n'avais pas passer beaucoup de temps avec lui durant mon enfance mais je savais que si j'avais besoin de lui il répondais présent.

Le bal était jusque là assez sympathique, bien sûr ici très peu de personne allait lui faire la révérence , ne sachant pas qui elle était. La musique battait son plein et plusieurs jeunes danser sur la piste, c'était une musique étrange mais assez original. Il était vrai que bien souvent j'avais du mal à comprendre les mortels. Vous allez me dire que être une Déesse et posséder de grands pouvoir peut vous monter a la tête, mais je crois que surtout, nous somme née avec Orgueil que nous méritons. Alors que c'est pauvre mortels se monte la tête pour pratiquement rien , au moins ils sont heureux avec pas grand choses mais se plaignent des peu de responsabilités qu'il ont. Cela ferait bien rire mon père et mon mari , qui chacun doivent diriger un royaume. Et être reine n'est pas non plus chose aisée surtout lorsqu'on ne le choisit pas et que c'est notre bêtise qui plonge dedans. Bêtise que je dois vouer , nullement regretter aujourd'hui.

Hadès est un être charmant , si si ! Même si ses infidélités m'agace au plus au point je l'aime terriblement et je ne peux imaginer ma vie sans lui. Alors il était vrai que si j'étais venue a cette soirée c'était avec l'espoir de l'apercevoir. 6 mois d'abstinence c'est long ! Malheureusement pour moi , lui ne sait pas vraiment ce qu'est une abstinence de 6 mois !
Mais pour le moment je n'aperçus que mon père, je n'était pas mécontente de le voir bien au contraire ! Même si c'était étrange de le voir ici parmi tout ces mortels. Eole vint nous rejoindre et fit une révérence a mon père. Il était son serviteur le plus dévouer. Parfois cela me fesais bien rire de le voir se plier en quatre pour les faveurs de mon père. J'ai un grand respect pour mon père mais jamais je ne m'abaisserais devant quelconque divinités.

Je jeta un nouveau coup d'oeil dans la salle a la recherche de Jane et je ne la vis toujours pas. Je savais qu'elle allait venir mais je ne pouvais m'empêcher de m'inquiétais. En parlant d'enfant, Nico viendrait sûrement. Hadès était très dur avec lui pour qu'il soit digne de son père. Cela me révolter et je n'avais aucune envie de voir Nico venir se pavaner dans les enfers comme un prince. Hadès , lui était très fier de son petit pantin et moultes fois je m'étais opposé au fait qu'il avait droit a un titre. Bien que je sois reine , tout ne m'était pas permis et Hadès était bien décider a en faire un prince a mon grand désolement. Oui , tout serait plus simple si j'acceptais de lui faire un enfant, mais je n'étais pas encore prête et je n'avais pas l'envie. Hadès lui ne m'attendis pas vraiment et fut plus qu'heureux lors de la naissance de Nico et Jane. Par chance , Bianca la sœur de Nico nous quitta brutalement. Leur mère aussi , qui périt sous la main de mon père qui est prêt a beaucoup de choses pour sa fille !

Une voix familière me sortie de mes pensées. Je leva les yeux et je vis Hadès. Un sourire illumina mon visage. Ma mère ne comprenait pas toujours mon amour envers Hadès mais du moment qu'il ne fesait pas de mal , elle ne disait rien. Il était vrai qu'il n'avait pas utilisé la meilleure méthode pour me déclarer sa flamme. Mais a présent je lui avais pardonner.

« Merci mon amour , je suis ravie de te voir se soir. »

Et cela était vrai , j'aimais terriblement ma mère mais pendant l'été , Hadès me manquer horriblement , ainsi que pendant l'hiver ma mère me manquer tout aussi horriblement. De plus je savais que se soir je pouvais garder un œil sur lui et qu'il n'irais pas voir d'autres demoiselles.

Un évènement important se déroulait ce soir. Le bal de l’indépendance. Aujourd’hui était un jour important pour tous les newyorkais. Cette année un bal masqué avait été organisé. Je savais que Jane y serait, je l’avais vu. Le fait de pouvoir lire l’avenir était une chose que j’aimais particulièrement, cependant il changeait parfois. Je ne doutais pas qu’elle y serait. Ce serait peut-être le moyen pour moi de la rencontrer de nouveau. Elle m’avait oubliée quand je lui avais modifié ses souvenirs afin que personne ne sache que c’était moi qui l’avais enlevée. Je l’avais libérée depuis, je me sentais trop mal à l’aise pour la garder, j’étais trop amoureux pour lui faire subir plus longtemps ça. J’avais préféré qu’elle m’oublie mais ce soir je pouvais me permettre de la revoir et de lui parler sans qu’elle ne sache qui je suis. Je jouerais au type cool que je ne suis pas. Je jouais toujours ce rôle pour me confondre dans la masse cacher ma véritable identité me servait à ne pas être rejeter de la colonie et surtout à pouvoir espionner les Dieux pour Emily. J’étais un Atlante et fier de l’être. Mon plus grand désir était de faire renaitre notre si belle cité que les dieux avaient détruite.

Pour l’heure j’étais prêt à aller à ce bal. Je portais un costume noir et une chemise blanche, tout était neuf. Elégant comme toujours. J’arrivais dans la salle de bal ou déjà beaucoup de monde faisait la fête, tout le monde ou presque portait un masque tout comme moi, en même temps un bal masqué sans masque ne serait pas un bal masqué. J’aperçus près du buffet Zeus, Hadès Eole et Momus. Je les regardais discuter, non mais regardez-les et surtout regardez-le Zeus, le maître. Il me dégoutait tous autant qu’ils étaient. Je reconnu aussi un des fils d’Apollon qui profitait visiblement de la soirée, eh ben y en a qui savent faire la fête. Je souris je pouvais faire de même mais ce soir une seule m’intéressait comme toujours et visiblement elle n’était pas encore là. Je me dirigeais vers le bar non loin du buffet. Je commandais une vodka grenadine et m’accoudais sur le bord du bar afin de continuer mon observation. Je regardais toujours Zeus intensément, un jour ils paieront tous, vous pouvez me croire. Ils le paieront. La vengeance est un plat qui se mange froid.

Ça faisait… un mal… de chien ! Merde ! Il s’était fait tiré et maintenant il se cachait comme un voleur dans une ruelle sombre, près d’une place illuminée aux allures de grandes parades. Peut-être parce que c’était l’évènement principal de la semaine, la fête de l’Indépendance de 1776. Pourquoi commémorer quelque chose qui s’était déroulé plusieurs centaines d’années auparavant ? C’était comme… prier les dieux de l’Olympe par exemple, une idée totalement absurde puisqu’ils avaient certainement disparus avec leurs derniers croyants. De toutes les manières, ce n’était ni le lieu, ni l’heure pour réfléchir à ce genre de choses. Il allait bientôt se faire prendre si jamais il restait ici, mais il ne pouvait pas quitter l’impasse sans changer de vêtements. Heureusement, la balle avait traversé son bras, il n’en restait pas la moindre trace. Il avait aussi réussit à trouver quelques compresses et pansements dans une pharmacie au coin de la dernière avenue qu’il avait traversé. Ensuite, le chemin s’était dessiné de lui dans les petites ruelles sombres où il cheminait avec agilité. Ces gars qui lui avaient fait ça… forcément, avec son dernier acte de prostitution il avait tapé haut. Mais penser que son client enverrait des gorilles parce qu’il ne voulait plus travailler pour lui ! Franchement, ce monde était vraiment dangereux. En tout cas, deux d’entre eux servaient à présent de nourriture aux poissons. Le reste devait être à la recherche du jeune homme, il allait donc falloir qu’il se fonde dans la masse. Un coup d’œil et il aperçut justement ce qu’il cherchait.

Un homme d’une vingtaine d’années était habillé dans un costume assez peu courant. Époque ? L’Antiquité Grecque. Personnage représenté ? Zeus. Eh bien, il allait gentiment lui donner son costume. Karal s’avança hors de la ruelle avant de s’apercevoir que trois hommes aux insignes similaires à celles qu’il avait vu quelques heures auparavant stationnaient dans les rues de New York, un regard attentif, vif, cherchant leur proie avec une seule intention : la tuer. Enfin, le en l’occurrence. Comment faire pour attirer le jeune homme solitaire ? Son portable… le Cosplayeur en portait un sur lui, contrôler l’appareil allait être plus que facile. Celui-ci se mit à sonner et le garçon décrocha.

- Bonjour, je suis désolé d’être en retard, pourrais-tu me rejoindre dans la ruelle s’il te plaît ?

Oui, il attendait forcément quelqu’un. Oui, la voix brouillée allait le perturber. Non, ça n’allait pas l’empêcher de venir jusque dans la ruelle. Il se dirigea alors vers le petit coin sombre, sans prendre gare qu’il n’était pas seul. Alors qu’il s’avançait tranquillement, il sentit une main se poser sur sa bouche. Son corps céda alors à la tentation de résister et se laissa porter par un petit courant électrique.

- Désolé, je vais juste te dépouiller de tes affaires…

Après l’avoir mis nu et s’être vêtu de ses vêtements ainsi que de sa barbe et sa longue perruque grisâtre bouclée, Karal eut la décence de lui remettre un caleçon et un gilet, laissant le pantalon en guise d’oreiller. Bah, il s’était aussi emparé de l’invitation, lui permettant ainsi d’entrer dans trop de problème. Le dernier pépin… son bras, il le couvrit de la toge qu’il portait à présent dévoilant son torse bien sculpté. Les gardes n’étaient pas à l’entrée, ils se postaient cependant de sorte à ce qu’ils puissent voir si un garçon correspondant à la description qu’ils avaient eu s’approchait. Mais ça n’allait pas être Karal qui, ce soir, allait faire son show. Non, c’était Zeus, un des dieux de l’Olympe. Heureusement, les légendes pouvaient servir à un quelconque moment de la vie. Soit à étaler sa science historique, soit à se faire passer pour l’un d’entre eux.

La sécurité passée, il put se détendre et laissa paraître son bandage de fortune. Personne n’oserait l’attaquer dans une telle foule. D’un coup d’œil, il s’aperçut que déjà plusieurs convives s’étaient affairés au buffet. Son ventre criait famine alors il n’allait pas s’en priver. Le temps de reprendre des forces et il irait ensuite régler ses comptes avec son ancien client. Alors qu’il pensait à ceci, une fille l’aborda pour lui offrir une flûte de champagne. Elle était habillée en… hum, quelque chose entre le nu moderne et une robe pailleté. Voyant. Certaines personnes avaient optés pour un costume, mais franchement qu’est-ce qu’ils avaient à ne pas vouloir en profiter pour se déguiser ? Et beaucoup portaient un masque, ce qui devait être obligatoire. Karal s’avança vers le buffet après avoir décliné l’œuvre de la vipère et mangea un petit four en scrutant la salle, méfiant. Beaucoup trop « d’humains ». Un rassemblement d’individus plus exécrables les uns que les autres. Il n’avait pas envie de rester. En fait, partir serait rapidement devenu une absolue nécessité si dehors, ses « ennemis » n’avaient pas commencés à se réunir. Un coup d’œil dans sa tête et il pouvait voir à travers les lentilles des caméras de surveillance. Oui, ils s’étaient rassemblés devant le bal masqué. Comment avaient-ils su ? L’homme dans la ruelle ? Non, trop bien caché. Ou alors… la femme étrange sortait à présent, tirée par le bras des hommes en costumes noirs. Qui était-elle ? Il allait falloir chercher dans les dossiers de la Police. Ce qui parut une éternité pour Karal mais qui ne dura qu’un instant à l’extérieur lui permit de comprendre. La femme de son ancien client. Il n’avait pas à s’en faire pour le moment, il allait donc pouvoir manger un peu avant de dégager en coup de vent.

Manger était agréable, certes, mais il avait aussi envie de discuter un peu. Depuis combien de temps n’avait-il pas eu de vrai discussion… en fait, la réponse était implicite. Lyme. Oui, depuis qu’il n’avait plus vu cet avorton, cet ange, il n’avait plus parlé à personne. En prenant une pâtisserie, il s’adressa à la première personne qui en consommait aussi une.

- Elles sont délicieuses, n’est-ce pas ? Plaça-t-il entre deux bouchées.

Un bal. Un bal a New York. Et masqué par la même occasion. Une bonne nouvelle lorsqu’on est une fille d’Aphrodite qui adore faire la fête et être la plus belle. Bon okay elle ne voulait pas vraiment y allé parce qu’une intuition lui disait qu’une catastrophe allait se produire. Quoi ? Aucune idée elle n’est pas l’oracle non plus non mais ! Mais fallait quand même qu’elle y aille pour Jane. Oui parce que Jane allait y allé incognito et elle devait absolument lui parler. Mais pourquoi allé au bal alors qu’elles pouvaient se parler par portable ou e-mail. Ha !! Parce que tout le monde y allé et que la colonie l’y avait forcé. Et Merde ! Bon pour l’occasion elle avait commandé la même robe que lady gaga, une robe rose bonbon. Oui c’était vraiment horrible mais bon ça lui allait bien. Normal tout lui allait parfaitement bien et ceux quoi qu’elle mette. Evidement quand on est la plus belle fille d’Aphrodite qui existe. Comparé à London, Kayden a tout pour elle : la beauté, les garçons et de magnifiques cheveux blonds. Pauvre fille qui pense qu’en l’insultant elle sera la plus belle. Pour cela il faudra qu’elle tue Kayden. Car au fond Londie c’est que sa grande sœur a la beauté de sa mère.

Kayden regarda l’heure. Il était 19h. Elle devait y être à 20h. Encore une petite heure et elle ferait son entrée vêtu de sa robe rose qui lui donnait l’allure d’une meringue. Elle se demandait quand même se qui lui avait pris d’acheter une robe comme celle là. Si London la voyait elle rigolerait surement. Kayden enfila la robe et se regarda dans le miroir. Okay c’était un bal masqué et la robe convenait parfaitement a l’occasion mais elle aurait préférer quelque chose de mieux. Quoi ? Tout mais pas ça. Elle tapa un peu sur le rose et alla se maquillé. Elle coiffa ses cheveux blonds, et mis du rose sur ses paupières. Nul de chez nul. Elle se sentait complètement anéantis depuis quelque temps. Par quoi ? Elle n’en savait rien. Elle en avait mare de cette guerre perpétuelle. Cette guerre qui n’en finirait surement jamais et qui lui ferait perdre ceux qu’elle aimait. Elle se leva et sortis avec les autres filles d’Aphrodite du bungalow. Elles rentrèrent tous dans une limousine qu’une des filles avaient commandé grâce a son riche de père. Kayden rentra la première et parla avec les autres comme si, il n’y avait pas de problème.

Ils arrivèrent à l’endroit prévu. Kayden sortis la dernière trainant les pieds d’un pas lent. Elle ne voulait pas. Elle soupira et pris son courage a demain puis elle entra. Ils y avaient des lumières trop de lumières. Kayden avait toujours adoré être sous les projecteurs mais pas de cette manière là. Beaucoup de personnes la regardaient. Normal elle était tellement jolie. Ha moins que se soit a cause de cette affreuse robe. Qui pouvait savoir. Elle vit Lee Fletcher, un sang-mêlé, fils d’apollon mais ne remarqua personne d’autre. Pas des personnes avec qui elle ait des liens comme Jane ou London. Elle aperçu aussi la fille rencontré dans le labyrinthe mais dont elle ne s’approcha pas. Elle se dirigea vers le buffet ne voyait rien d’autre d’intéressant a faire. Elle prit un beignet au chocolat. Tant pis pour sa ligne. Alors qu’elle mâchait sa bouchée, Karal Prinsten s’approcha d’elle et lui adressa la parole :

-Elles sont délicieuses, n’est-ce pas ? Plaça-t-il entre deux bouchées

Kayden s’en pressa d’avaler pour répondre :

_ Elles ne sont pas mauvaises. J’ai gouté mieux.

Le soleil commençait à se couché sur l’océan, Je voyais au loin les lumières des buildings de New York, le bout de la torche de la statue de la liberté, les bateaux qui rejoignaient le port. Nous y étions presque et je n'étais pas vraiment ravi de ça, j'allais devoir supporter toutes ces personnes que je ne pouvais pas voir en peinture. Il y aura surement mon père, ce père qui m'a abandonné et à qui je veux faire payer tous ce qu'il m’a fait et tous ce qu'il a fait a ma mère car il faut bien l'avouer tous ça était sa faute. Mais j'avais promis à Jane que je ne ferais rien ce soir, comment avais je pu lui promettre ça ? Peut être parce que je n'étais pas vraiment présent pour elle en ce moment avant aujourd'hui mais je dois avouer que ma priorité en ce moment était que je finisse cette quête au plus vite pour pouvoir vivre ma vie en laissant ça derrière moi. J'étais sur le pont appuyé contre la balustrade du bateau, le regard perdu sur les vagues. Je pensais à ma vie, à tous ce que j'avais fait pour en arriver là, j'avais rassemblé ma propre armée pour détruire les dieux sous l'ordre de Cronos. Il fallait que je remonte dans la salle des commandes pour voir si tous se passé bien la haut. Je déambulais dans les couloirs quand je tombai par hasard sur Jane. Quand j'ai croisé ses yeux je me sentis tout de suite bizarre elle me faisait ressentir des choses que je ressentais que quand j'étais prés d’elle, mais je sentis quelque chose qui n'allait pas. Une sorte de gêne ou je ne sais quoi, je pense que c'est parce que ça faisait un petit moment qu'on ne s'était pas retrouvé tout les deux et que ça passera avec le temps. J'étais maintenant a quelques centimètres d’elle, je lui fis un sourire et elle me demandait dans combien de temps on allait arriver, je lui répondis qu’on n’allait pas tarder a arrivé sur le port et qu'il fallait que je fil dans la salle de contrôle pour voir si tous se dérouler comme je le voulais. Je déposai mes lèvres sur les siennes, un petit baisé qui voulaient dire bien des choses. J'y avais mis tout l'amour que je pouvais. Je filai ensuite dans cette sale de contrôle, je constatai que tout était en ordre et je fis un message audio a l'aide du mégaphone qui se trouvait devant moi, j’informai tout les passagers que nous allions accoster dans quinze minutes. Je me dirigeai dans ma cabine, un coup express sous la douche, j’enfilai mon smoking et ma chaussure cirée. C'était un bal costumé, mais je n'aimais pas vraiment me déguisais, c'était déjà bien que je mette un smoking il ne fallait pas m'en demandé trop non plus. Les passagers descendirent devant nous, nous étions les derniers, je voulais arriver a ce bal le plus tard possible je redouté beaucoup de voir toute ces personnes, mais j’espérais beaucoup qu'il y a plusieurs de mes allier car si une querelle éclate lors de la soirée que se soit de ma faute ou pas, il faudrait des renforts car je ne me sens pas capable détruire un dieu ce soir. Nous étions arrivé devant la porte, Jane rentra la première je l’ai suivis de prés me méfiant de toute les personnes dans cette endroit je ne voulais pas voir une de ces personnes s'attaquait a elle, il fallait que je l'a protège. Jane se dirigea vers Kayden et lui adressa quelque mots, je ne voulais pas lui parlé, il fallait que je trouve quelqu'un a qui parlé sinon j'allais exploser. Je fis un tour sur moi même cherchant une tête qui ne me donné pas envie de l’étripé. London, merci d’être la best friend toujours la quand il le faut. Je me rapprochai d'elle laissant Jane en lui faisant un bisou sur le front et en lui montrant ou je me dirigeais. J’attrapai une flute de champagne au passage et me mis à coté de London.

Tu sais que tu me sauve la vie toi ?!

En retard. J'étais en retard pour ce qui s'annonçait ce soir là et de toute façon, je n'avais jamais été très douée pour ce qui était d'arriver à l'heure. La question était : "y'en avait-il réellement une?". Oh, j'allais sans doute quand même arriver bien après le début, comme d'habitude!
Je marchai encore quelques pas dans l'herbe sèche et mes pieds, nus, s'enfonçait dans la terre. J'allais prévoir beaucoup d'eau là, pour tout refaire vivre parce que la nature en avait besoin. Bien, même si j'étais persuadée que c'était seulement une infime partie de toute la nature en question, ce serait déjà ça. Quel dommage tout de même.. tant de gâchis... tant d'irrespect pour des choses primordiales... les humains étaient bien égoïstes et je leur souhaitais que du mal pour cela.

Je rentrai alors à la maison, si on pouvait appeler cela une maison, et me préparai enfin. J'aurais aimé profiter d'avantage du soleil mais je n'avais pas eu le choix.
A la sortie, je regardai une dernière fois l'horizon en me promettant de revenir bientôt. Mes yeux se détachèrent alors du paysage et je décidai de m'en aller. Je n'avais jamais aimé être seule mais je savais que j'allais retrouver quelques soeurs là bas... peut être. En fait, je l'ignorais... vu comment étaient certaines d'entre elles, j'avais des doutes sur leur présence. Timides et tranquilles, telle était leur façon d'être. Alors, peut être croiserai-je des dieux ou des connaissances de la colonie?

Il y avait du monde à l'extérieur. Normal, un jour pareil ne se fêtait pas dans le silence, et certainement pas dans un pays tel que l'Amérique. Je me dirigeait vers le lieux indiqué en trainant sans difficulté ma robe jaune pâle et j'entrai enfin dans la salle. Du monde, il y en avait, comme je me l'étais persuadé. En même temps, j'avais pris un peu mon temps et c'était sans doute bien mieux ainsi. Personne n'avait remarqué mon arrivée, du moins je le pensai, et ce n'était pas moi qui m'en plaindrait.

J'avançai doucement vers un coin de la salle en adressant quelques bonsoirs à tout va puis décidai de prendre un verre en solitaire. Combien de temps allais je rester? Peut être pas beaucoup... je n'aimais pas trop ça, les fêtes, sauf quand on s'y amusait vraiment.

La salle se replissait un peu plus chaque minutes. Cela me paraissait étrange de faire la « fête » avec des mortels , mais je devais bien avouer qu'il s'en sortait bien et que l'on s'amuser plutôt bien durant cette soirée.
Comme a son habitude , Momus vint taquiner mon père. Je pouvais bien comprendre que Momus ne porte guère d'amour a mon père qui l'avait chasser mais bien que mon père n'approuvait pas cela j'aimais bien Momus. Avant de « rencontrer » mon mari je ne le connaissais que de nom et comme il le voyait de temps en temps vu qu'il travailler avec ses frère et sœur je pus faire plus amples connaissance avec lui. J'aimais son humour qui mettais mal à l'aise la plupart des personnes. Mais là était la grande qualité de Momus il était franc et mon père orgueilleux , lui ne l'avait pas supporter. Cela me fit rire de les voir a nouveau se chamailler comme un couple. Bien sûr si jamais Momus allait trop loin dans ses propos je n'hésiterais pas a défendre mon père.

Je prit un des petites pâtisseries et parcouru la salle de regard .Malgré moi je ne put m'empêcher de chercher Isaak des yeux. Je n'éprouvais aucun sentiments pour lui , mais j'aimais beaucoup les moments qu'on passait ensemble. Je pensais que je m'en serais beaucoup plus voulu que sa de tromper mon mari , mes les événements de ces derniers temps me firent oublier ma culpabilité. Mais pour la première fois de ma vie , j'avais peur de mon mari , peur qu'il découvre ma liaison avec Isaak et de sa colère. Bien sûr je savais très bien que en cas d'ouragan de la part d'Hadès je pouvais me réfugier chez mon père ou ma mère mais ceci allait sûrement crée un incident diplomatique. Mon père avait beau eu rendre son jugement depuis des lustres , ma mère chercher toujours la petite bête pour me faire quitter les enfers et je ne lui en voulais pas. Malheureusement je ne le vit pas , c'était peut-être un bonne chose ainsi! Je regarda quelque instant mon époux , moi-même je ne pensais pas que l'on pouvait aimer autant une personne. Mais aujourd'hui j'étais fatiguée de nos disputes incessante et de la même histoire. Mais étrangement , je ne cessa pas d'aimer mon mari....bien au contraire.

Une personne vint se joindre a nous , je reconnu ma demie-soeur Artémis. Je l'aimais beaucoup et me rappela avec un peu de nostalgie les longs jours que nous avions passez a jouer avec les nymphes. Au début de mon séjour en enfer , elle fut l'une des personnes qui me manqua le plus ! Les années passèrent et nous nous étions pas vu depuis très longtemps. Je trouvais sa fort dommage et j'étais donc bien contente de la rencontrer ici se soir ! Je lui adressa un sourire et lui dit bonjour.


« Bonjour Artémis..comment va tu depuis le temps ?? »