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A little pain

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MessageSujet: A little pain A little pain Icon_minitimeVen 1 Juil 2011 - 15:43



A little pain

« Le souvenir du bonheur n'est plus du bonheur ; le souvenir de la douleur est de la douleur encore. » (George Gordon)

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Je m’approchais de ma reine. Elle était si belle. Plus belle qu’Aphrodite. Personne ne pouvait égaler son charme, sa beauté et sa gentillesse. Je souriais. Je me rappelais que je lui avais offert une clé. En effet, mon mouton lui offrait sa liberté qu’elle ne pouvait pas avoir car elle était de sang noble. Comment on peut enfermer une belle créature dans une prison dorée ? Il faut être cruel pour ne pas s’apercevoir qu’une rose a besoin de soleil et d’amour. Mais qui était ma rose ? Vous devez être idiot pour ne pas vous rappeler de mon amour pour la Reine. Je lui bandais les yeux. Par ce geste, j’ai pu sentir son parfum. J’aimais celui-ci. J’aurais pu l’embrasser dans le cou si nous étions des tourteaux. Or, je n’avais pas le droit. Elle était Reine, j’étais rien. Elle était promise à un grand destin tandis que moi je la servirais. Et puis, une noble n’épousait pas un moins que rien. Ca ne se fait pas. Imaginais le scandale. Rhéa avait besoin d’un homme qui soit égale à son sang, je ne pourrais pas prétendre à ce sang. Il est préférable pour elle comme pour moi, que j’oublie cet amour et que j’emporte ce secret jusqu’à ma tombe. Or, comment résister à elle ? J’avais envie de l’embrasser, de la prendre dans mes bras, de la faire rêver et de l’aimer encore et encore jusqu’à que la mort nous sépare et nous soyons âgée. Je devais résister à mes pulsions. Je ne voulais pas lui faire de mal ni qu’elle me haïsse. Je ne pourrais pas vivre si dans son regard, je voyais qu’elle me considérait plus comme un ami mais un ennemi. Elle parlait enfin. Une voix adorable. J’étais sous le charme. Si j’étais un parfait idiot, j’aurais bavé comme les chiens. Cependant, je suis un compagnon et je dois me tenir comme tel. C’est-à-dire que mon côte enfantine refait surface. On va essayer. On y croit ! Je souris. Un sourire aimable.

- Hum … Laissez-moi réfléchir. Il me semble que j’en suis un enfin dans une autre vie. Mais dans celle-ci je suis un prince qui est le votre. Ah mince, je me suis trompé d’histoire. Je suis un idiot, pardonnez-moi.

Je souris. En effet, j’avais parlais sur un ton humoristique. Je voulais la faire rire mais je pense que c’est raté. Je lui fis le sourire que je lui faisais quand on était enfant. Comment il était ? Il était un malicieux mais aussi enfantin. Je n’ai pas encore accepté de grandir pour certaines choses. J’espérais quand je serais plus vieux, j’aurais passé l’âge de dire des bêtises. Mais, on ne change pas quelqu’un au bout de quelques secondes mais après un long travail. N’est-ce pas ? Je continuais de la regarder, j’étais maintenant face à elle. Je sentais mon cœur battre à une allure plus rapide qu’avant. Si vous êtes un docteur, vous connaissez ce syndrome qui touche la plupart des habitants. Vous savez celui cette maladie, qui vous rend nerveux, quand vous regardez la personne dont votre cœur est épris. N’ignorez pas le sentiment comme l’amour, car, celui-ci vous prendre par surprise … En effet, on tombe amoureux quand on s’attend le moins. Vous avez devinez mon syndrome. Vous le savez mais pas elle. Comment lui dire ? Sans paraitre pour un idiot. Le vent soufflait sur nos visages, je la regardais. Je voulais lui retirer ses mèches qui lui barraient son visage. Or, je n’osais pas. La peur d’une part mais aussi la honte. C’était compliqué d’être amoureux. Surtout d’une Reine.

Celle-ci me fit un compliment sur ma tenue spéciale. Je rougis légèrement. Il faut vous avouer que c’était rare que des filles m’en fassent. Ou plutôt, j’étais sourd quand les autres jeunes filles m’en faisaient. Je voulais que se soit Rhéa qui me le dise. Oui, je voulais qu’elle ait d’yeux rien que pour moi. Sans doute, vous pensez que je suis possessif. Vous aviez bien raison. Vous m’aviez cerné. Malheureusement pour moi. Enfin bref, un sourire s’étira sur mes lèvres et je lui dis alors d’une voix masculine et de velours.


- Je me suis paré de ces habits pour déclarer ma flamme à la personne que j’aime … Rhéa, si tu étais cette personne et que je ne sais pas comment lui dire mes sentiments … Comment, je pourrais lui faire comprendre que je suis fou amoureux d’elle ?

C’était sans doute la seule façon pour lui dire que je tenais à elle. Je me rapprochais du balcon, j’observais la nuit étoilée. Je vis une étoile filante. Je regardais Rhéa et je lui fis un sourire plein de douceur. Je savais quel vœu, j’allais faire. Lequel ? Celui d’être un jour, au prés de Rhéa et de connaître l’amour avec elle. Mais, je me doutais que ce rêve, ce songe, cette chimère se réalise un jour. La raison est fort simple, à force de vous le dire, vous le savez. Et ce n’est pas la peine de faire le perroquet. Je me retournais vers elle, je lui pris les mains et je la regardais. Elle me parlait de ma vie chez les compagnons.

- La vie là-bas est si amère. Je me sens à l’aise mais je ne suis pas proche de ma bien-aimée. Si seulement, elle n’était pas si différente que moi … Si seulement, elle était accessible. Or, je ne suis qu’un fils de compagnon et elle … Elle a un sang noble.

Je lâchais sa main, je me retournais vers le balcon. En effet, j’étais proche de celui-ci, je m’assis, étais-je fou ? Sans doute. J’étais plus fou d’amour pour elle que fou à cause d’une autre idée. Je lui fis un sourire. Je balançais mes jambes. Puis, je revenais vers Rhéa. Je n’allais pas lui faire une crise cardiaque. Je m’approchais d’elle. J’étais assez proche d’elle, il manquait plus qu’un pas, pour que nos lèvres s’unissent. Je plongeais ma main dans ma poche, je cherchais quelque que chose. Quoi donc ? Une bague … Pour Rhéa. Je lui fis un sourire et je me reculais.

- Le premier qui arrive à la plage à gagner ! Lui déclarais-je avec une voix joueuse.


Je lui laissais le temps d’apprendre la nouvelle, puis je la vis partie, contrairement à elle. Je ne pris pas son chemin mais un raccourcir. J’arrivais quelques minutes avant elle. Je ne savais pas combien de temps, j’avais pour lui préparer ma surprise. On va dire dix –quinze minutes. Je trace son prénom sur le sable blanc de l’île. Je fis un cœur et je mis la bague à l’extrémité de cœur. Je le cachais par un coquillage rose. Je respirais l’air marin. Je regardais le ciel, celui-ci éclairais le prénom de ma douce. Puis, je me cachais dans les rochers…
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MessageSujet: Re: A little pain A little pain Icon_minitimeMar 23 Aoû 2011 - 19:47



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« Le souvenir du bonheur n'est plus du bonheur ; le souvenir de la douleur est de la douleur encore. » (George Gordon)

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Je levais les yeux vers ma douce colombe. Je l’aimais. J’avais peur de lui dire que je la désirais. Que dirait-elle si elle savait que je voulais partager ma vie avec elle ? Elle ne voudrait pas et sa famille s’opposerait à cette union si la jeune reine m’aimait. On ne mélange pas la noblesse avec des soldats. C’est malsain pour la descendance prestigieuse des futurs rois et reines. Le pensais-je ? Non. Je voulais vivre avec elle. Mourir pour elle. Vous pensez que je l’aimais pour son titre, or, je ne suis pas intéressé par le pouvoir. Je l’aimais pour sa beauté mais aussi pour son caractère. Je l’acceptais comme elle était. J’avais tantôt bandais les yeux de ma Reine. Je voulais savoir si elle savait me reconnaître. L’innocence d’un garçon mais la virilité d’un homme comme le dirait ma mère. Je lui demandais qui j’étais. Elle ne répondait pas tout de suite. J’attendais sa réponse tandis que mon ventre commençait à avoir des papillons dans l’estomac. Elle répondit que c’était un compagnon. J’étais heureux qu’elle me reconnaisse. Mais, je lui dis que j’étais son prince dans cette vie. Je l’avais raconté d’une voix amusante. J’aimais l’entendre rire. Je la vis sourire à ma tirade. J’ai eu un sourire plein de malice. Elle me questionnait sur la raison pour laquelle, j’avais cette tenue. Je lui répondis assez franchement mais en omettant le fait que c’était elle, l’objet de mes désirs. Elle répliqua sa réponse. Je la regardais un instant. Admirant sa beauté angélique. Elle était un ange. Mais, elle peut être dangereuse si on l’attaque. Je l’écoutais sans rien dire, je remis une de mes mèches de cheveux à sa place. Je lui disais par la suite « mais admettons que cette femme, c’est toi ? Comment pourrais-je le dire ? Tu es une noble, je n’ai pas le droit d’aimer une noble » lui dis-je tristement. Je me demandais si elle avait compris que cette noble dame était elle. Je poursuivis avec une certaine innocence « cette femme, elle est si belle, si droite, or je suis que son compagnon. » Pour changer de sujet et qu’elle n’a pas le temps de réagir, je lui proposais une course jusqu’à la plage. Je courrais d’un côte, elle de l’autre. Je préparais sa surprise. Qu’est-ce que j’avais fait ? Un dessin en forme de cœur et nos deux prénoms inscrits avec une bague. Je me cachais, je la vis aller sur la plage. Je la trouvais si belle, je l’aurais embrassé sur place. Or, j’avais peur qu’elle me rejette. Je la vit lire le message grâce aux rayons lunaires. Elle n’était plus triste. Mon ange, mon amour avait retrouvé son sourire. Je compris quelle m’aimait. Mais savait-elle que je l’aimais à mon tour ? Elle me cherchait. Je sortis de ma cachette. Je m’approchais d’elle.

- Rhéa … Cette femme que j’aime, c’est toi. Je veux que tu deviennes ma femme, ma lumière, mon royaume, ma vie …. Sans toi, cette vie est qu’un gouffre, une pénombre sans fin. J’ai envie que tu sois là à mon réveille. Et qu’un jour, nous fondons une famille. Je ne t’obligerais pas à avoir des enfants si tu n’en veux pas. Je t’aimerais toute ma vie, mon amour, mon rayon de soleil, ma vie … Je ne t’enfermerais pas dans cette cage que font les autres hommes. Si, je le fais, rappelles moi cette promesse. Je ne veux pas te faire souffrir ma colombe, ma reine, mon unique amour. Acceptes-tu d’être ma femme ? Je comprendrais si tu ne veux pas d’un compagnon pour consort. Ne penses pas que je t’aime par rapport à ce titre. Je t’aimerais si tu étais une bergère ou une pauvre. Je t’aimerais si tu étais bossue ou malade ou stérile. Ton titre n’est rien pour moi. Je t’aimerais comme un fou. Jusqu’à la fin. Car, je n’aime que toi, tes qualités comme des défauts. Rhéa … Mon amour, mon unique amour …

Je finis mon discours, mon cœur se serrait. Je finis par l’embrasser. Un baiser ardent et passionné. J’avais peur de sa réaction. Peur qu’elle refuse de m’épouser. C’était trop tôt et j’étais idiot. Mais, je sentis des secousses. J’avais peur pour Rhéa.

- Part … Sauves toi. Ta vie est plus importante que la mienne …

Des soldats se préparaient à sauver des âmes, le peuple sortait. Ils avaient peur. Qu’allons-nous devenir ? Qui était contre nous ? Je vis une tempête. Je suppliais Rhéa de partir. Je lui disais que nous allions nous revoir dans une autre vie. Je lui promis de l’aimer toute ma vie. Après qu’elle soit partie, j’aidais mes amis, les compagnons. Nous devions mettre la ville en sécurité avant tous de mourir. En rentrant au village, je vis des morts … des blessés. Les dieux étaient contre nous. Je n’ai pas eu le temps de sauver les gens, on m’amenait sur un bateau. Je ne savais pas si ma famille allait vivre ni que ma reine, ma promise si elle le souhait était vivante. J’étais sur l’une des barques mais je tombais dans l’inconscience. Je ne savais pas ce que j’allais devenir … Je me réveillais quelques heures plus tard. J’étais toujours sur cette barque. Des passages m’informaient que l’Atlantide était détruite par Poséidon. Ils ne parlaient ni de Rhéa ni de sa famille. Mon cœur saignait et j’étais malheureux. Je ne saurais jamais si elle voulait être ma femme.

***

Je me réveillais. Combien de temps avais-je dormis ? Je n’en savais rien. Je décidais de me lever et d’aller voir Emily. Je supposais que c’était Rhéa. Pourquoi ? Elle avait le même physique qu’elle. Et, au fond de mon cœur, il restait de l’espoir que ma chère et tendre soit encore en vie. Je toquais à la porte de la jeune garde du corps de la petite amie du chef. Je ne savais comment faire pour qu’elle me réponde. Réfléchis Dorian. Ah oui, je ne me nomme plus Seth mais Dorian. C’est mon pseudonyme.

- Emily, puis-je entrer ?

Je savais qu’elle était une atlante. Donc, il avait des chances que se soit Rhéa. Je vous en prie. Ramenez-moi là ! Elle est à moi ! Et non à Hadès. Je priais pour qu’elle ouvre. J’entendis des pas dans les couloirs. Plusieurs sangs-mêlés discutaient par rapport à un bal masqué. Je savais que je n’en ferais pas partir. J’avais perdue le gout à la danse.

- Je sais qui vous êtes Emily. Vous êtes comme moi. Ouvrez-moi la porte. Je vous en conjure. Je dois vous parler d’une information. Vous n’en serez pas déçue Madame !

Rhéa … Ou est tu ? Es-tu ici ma douce ? Pourquoi, je ne le sais pas ? Je devais dire qui j’étais malgré ma vie … Tant pis, si je mourrais. Je rejoindrais ma femme dans le paradis. Enfin s’il en existe …

- Je suis Seth …
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